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Test : quel héros de la prévention es-tu ?

Le duel eau versus mojito, qui gagne la bataille de l'été ?

ROUND 1 : Le rafraîchissement immédiat
Mojito :
1 point pour le goût. C’est sucré, c’est mentholé, c’est le goût des vacances à chaque gorgée.
Eau fraîche :
1 point pour l’efficacité. Elle ne te ment pas : elle hydrate pour de vrai, tout de suite. Pas d’illusion.
Égalité

ROUND 2 : Les effets à long terme
Mojito :
Tu penses te désaltérer, mais en fait tu perds de l’eau. L’alcool, c’est diurétique. Traduction : tu élimines plus que tu consommes. Résultat : tu te déshydrates sans t’en rendre compte.
Eau :
Elle t’aide à garder ton énergie, ta concentration, ta fraîcheur. Tu transpires ? Elle compense. Tu danses ? Elle soutient. Tu chauffes ? Elle refroidit.
Avantage eau.

ROUND 3 : Ta peau, ton cerveau, ton estomac
Après 2-3 cocktails :
Maux de tête, bouche sèche, digestion ralentie, coup de fatigue… Ton corps sonne l’alerte : « Hé ! Où est l’eau ?! »
Après 2-3 verres d’eau :
Peau rebondie, bonne mine, zéro gueule de bois.
KO technique. L’eau gagne.

ROUND BONUS : Le combo gagnant existe
La vérité ? Tu peux siroter ton mojito mais en mode malin :
• tu proposes des cocktails sans alcool aussi beaux que les autres : menthe, fruits, glaçons originaux.
• tu mets à disposition des pichets d’eau infusée (citron, framboise, basilic) à côté du bar.
La fête continue et ton corps te remercie.

Un nuage de chantilly… pas un nuage dans la tête !

Chantilly maison : douce folie ou faux pschitt ?
On adore le nuage sucré de la chantilly au siphon, ce petit pschitt magique qui donne l’impression d’être un pro en cuisine. Mais attention : ce bruit sympa cache un gaz pas si innocent que ça.

Ce n’est pas juste de l’air, c’est du protoxyde d’azote (N2O, alias «gaz hilarant»)
Il est autorisé en cuisine pour faire mousser ta crème, oui. Mais inhalé pour s’amuser ? Là, c’est non.

Quand le pschitt dérape...
Inhalé, ce gaz peut provoquer :
• des pertes de connaissance,
• des troubles neurologiques,
• et parfois une dépendance.
Et non, ce n’est pas juste un délire passager. C’est un vrai risque pour la santé, surtout chez les plus jeunes.

Parents, à savoir :
Soyez curieux sans être intrusif. Repérez les signes : cartouches vides, vertiges inexpliqués… Parlez-en simplement, sans faire peur, juste les faits. Créez un climat de confiance : le meilleur antidote, c’est le dialogue.

Le mot de la fin :
À Courbevoie, on garde le fun dans l’assiette.
La chantilly ? Oui.
Le proto dans les poumons ? Non merci.

Une recette estivale : le mocktail aux fruits d'été !

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